L’évaluation de la valeur d’un bien immobilier est essentielle pour toute une diversité d’activités, y compris les subventions, l’inscription des ventes, l’analyse des investissements, l’assurance des biens et le recouvrement des impôts. Quoi qu’il en soit, pour la grande majorité des gens, l’utilisation la plus profitable de l’estimation immobilière consiste à décider de la demande ou du prix d’un bien immobilier. Découvrez dans cet article, les méthodes d’estimations d’un bien immobilier.
L’approche de comparaison des ventes
L’approche de comparaison des ventes ou approche fondée sur les données du marché est régulièrement employée pour estimer les propriétés personnelles et les terrains. Si vous êtes en quête d’estimations immobilières à l’Alpes d’Huez, référez-vous à la société Prestige Transaction à L’Alpe D’Huez. Il s’agit d’une mesure de la valeur significative déterminée par la comparaison d’un domaine avec des domaines vendus jusqu’à présent et présentant des qualités comparables. Ces domaines comparatifs sont appelés comparables, et pour donner une corrélation substantielle, chacun d’entre eux doit :
– être aussi semblable que possible au domaine concerné
– avoir été vendues au cours de l’année dernière sur un marché de transaction ouvert et sérieux
– et avoir été vendu dans des circonstances économiques normales
Environ trois ou quatre comparables doivent être utilisés dans le cycle d’estimation. Les principales variables à prendre en compte lors du choix des comparables sont: la taille et en particulier la situation géographique, qui peuvent avoir une incidence considérable sur la présumée valeur d’un bien.
L’approche par les coûts
L’approche par les coûts peut être employée pour estimer la valeur des domaines qui ont fait l’objet de travaux. Cette stratégie comprend des approximations séparées de la valeur significative du ou des édifices et du terrain, en prenant compte la dévalorisation. Les approximations sont jointes pour calculer la valeur de l’ensemble du bien immobilier affiné. L’approche fondée sur le coût part du principe qu’un acquéreur raisonnable ne paierait pas plus pour un domaine affiné actuel que le coût d’achat d’un terrain similaire et de développement d’un édifice pratiquement identique. Cette approche est profitable lorsque le bien évalué est une sorte de bien qui n’est pas revendu de temps en temps et qui ne crée pas de rémunération. Les modèles d’exemples comprennent les établissements scolaires, les lieux de culte, les cliniques et les structures du gouvernement.
Les dépenses d’édifications peuvent être évaluées de différentes façons, notamment par la technique :
– De l’unité sur place, où les dépenses sont évaluées selon le coût de développement par unité de proportion des constituants de l’édifice, y compris la main-d’œuvre et les équipements ;
– De l’étude des quantités, qui évalue les quantités de composants non raffinés essentiels qui devront substituer l’édifice en question, ainsi que le coût permanent des matériaux et les coûts d’installation connexes.
L’approche de capitalisation des revenus
Fréquemment appelée approche par le revenu, cette technique dépend du lien entre le rythme de retour qu’un bailleur de fonds exige et le gain global qu’un bien immobilier produit. Elle est employée pour chiffrer la valeur des domaines à rendement payant comme les immeubles d’habitation, les centres d’affaires et les centres commerciaux. Les approximations utilisant l’approche de la capitalisation des revenus peuvent être réellement élémentaires lorsque l’on peut s’attendre à ce que le bien en question produise un rendement futur et que ses dépenses ne sont pas surprenantes.